Nouvelle ambiance ufologique.
La divulgation est maintenant entre les mains
des media traditionnels.
Appréciez le spectacle !
La presse publiera sous peu, les informations qui concernent les phénomènes que nous ne savons pas encore comprendre et encore moins expliquer.
L’Académie d’Ufologie publie maintenant, de temps en temps, une affaire classique remarquable et tous les jours de courts messages comportant des informations majeures ignorées par la presse.
Ce site Internet est un site d’information instantanée et éphémère.
Il n’y a pas d’archives des anciennes publications.
Message éphémère 08 août 2024 En Californie, de mystérieux objets volants sèment l’inquiétude Ovnis ou drones ? Dans deux villes du comté de Los Angeles en Californie, Une chose est sûre : quelque chose d’inhabituel est apparu dans le ciel nocturne de Palmdale et de Lancaster en Californie, le 16 août. Et ce n’est pas passé inaperçu : plusieurs dizaines d’habitants de ces deux localités accolées situées dans le comté de Los Angeles ont observé, filmé et commenté sur les réseaux sociaux des objets lumineux au comportement erratique. Neighbors, une appli de réseau local destinée aux voisins, très populaire aux Etats-Unis, a rapidement été submergée de témoignages et d’images, au point que les autorités ont ouvert une enquête. Un résident décrit ainsi ce qu’il a observé : « Ma fille et moi étions en train de traîner dans l’arrière-cour quand nous avons vu une étoile filante venir de l’Est, puis stopper abruptement avant de repartir en zigzag vers le Nord. » Un jeune homme explique être sorti dans la rue avec sa mère après avoir été alerté par ces différents messages. Il assure avoir vu pas moins de six objets en l’espace d’une dizaine de minutes. Malgré le caractère spectaculaire de cet incident, l’hypothèse de plusieurs drones ne semble pas incompatible avec les caractéristiques de vol (note de JK: relisez le témoignage au paragraphe 3) et d’apparence des objets observés. L’enquête officielle devrait sans doute permettre de confirmer ou d’infirmer cette explication. Nouvelle affaire classique de l’ufologie Cette affaire est extraite du remarquable site Internet Plaine des Cafres, La Réunion, 31 juillet 1968 Le 31 juillet 1968, vers 9 heures du matin, Luce Fontaine, créole, garçon vacher ivre selon les sources moquant l’affaire et cultivateur époux d’une institutrice selon d’autres sources, âgé de 22 ans, cueillait de l’herbe pour ses lapins dans une petite clairière, au centre d’un bois d’acacias au lieu dit Le Tampon dans la Plaine des Cafres, à l’île de la Réunion. Il a dit avoir vu là pendant une quinzaine de secondes un objet de forme ovoïde, au centre translucide et aux extrémités bleues sombres, stationné quatre ou cinq mètres au-dessus de lui à une distance de 25 mètres. L’engin mesurait dans les 5 mètres de large et 2 mètres 50 de haut. De couleur bleue et blanche, l’objet émettait une lumière blanchâtre crue comparée à celle d’un arc électrique. Des sortes de grands pieds de métal étaient au-dessus et en dessous de l’engin:
Au centre de l’engin, derrière la partie translucide, Luce Fontaine voit deux personnages de type humanoïdes, d’environ 90 centimètres de haut, vêtus des pieds à la tête d’une sorte de tenue de cosmonaute boudinée, qu’il surnommera les “babas Michelin” puisqu’ils ressemblaient à la célèbre mascotte de la marque de pneus. Les deux êtres portaient des sortes de casque qui masquaient partiellement leur visage. Au bout de quelques secondes, les deux êtres semblent s’apercevoir de la présence de Luce Fontaine, ils lui tournent alors le dos et l’engin disparaît en quelques secondes dans un éclair aveuglant et un souffle d’air chaud. Illustration relative à cette affaire,en couverture d’un livre de Jacques Vallée. Luce Fontaine, selon les diverses sources journalistiques locales, est présenté tantôt comme “un ouvrier agricole considéré comme sobre et de bonne foi”, ou “un garçon vacher de retour d’un bal bien arrosé.” Les récits ne précisent pas si c’est lui qui est allé spontanément trouver les gendarmes pour rapporter ce qu’il a vu ou si ce sont les gendarmes qui sont venu interpeller l’homme pour savoir ce qu’il en serait, toujours est-il que les gendarmes de l’île ont noté ainsi la déclaration qu’il leur a faite:
Son interrogatoire par la gendarmerie, dans le cadre de l’enquête dirigée par le capitaine de gendarmerie Maljean, de Saint-Pierre, n’a pas donné lieu à la publication d’une explication triviale ni à l’exposition d’un canular et les rapports ne sont pas disponibles. Après l’enquête de la gendarmerie, c’est le directeur du service départemental d’incendie et de secours, le capitaine Léopold Legros, qui avait des compétences en matière de nucléaire, de chimie et de biologie, qui s’est aperçu que le chapeau et le pantalon de Luce Fontaine étaient radioactifs dans des proportions supérieures aux taux naturels. Il avait utilisé le matériel de détection de l’aérodrome de Gillot pour cela. Legros a alors inspecté les lieux de l’observation et y a détecté également une radioactivité anormale en six endroits ponctuels alignés trois par trois au sol. Par ailleurs, Luce Fontaine a saigné du nez pendant les huit jours qui ont suivi son observation, mais il n’y eut aucune autre conséquence notée sur sa santé. J.P. Lavilgrand, de Daint-Denis de la réunion, sera le premier ufologue “civil” a être au courant de l’affaire et en fera le compte rendu, suivi de M. Albany du groupe d’ufologie GEPA. Le capitaine Legros dira à J.P. Lavilgrand au sujet de la radioactivité mesurée sur l’emplacement:
Ces taux ne sont pas alarmants, mais bien anormaux. J.P. Lavilgrand a par ailleurs fait remarquer que les mesures ont été faites 10 jours après les événements, et que les pluies abondantes de la saison avaient pu délaver le terrain. Il a lui-même noté les déclarations de Luce Fontaine comme suit:
L’affaire a été racontée dans la presse locale, sous le titre: “Soucoupe volante à la Plaine des Cafres? Radioactivité légèrement supérieure à la normale constatée sur les vêtements de l’unique témoin, un cultivateur nommé Luce Fontaine qui affirme: “Deux babas Michelin habitaient l’engin”.” Elle passa ensuite dans la presse métropolitaine, avec de nombreux articles dans des journaux comme “Centre-Matin”, “Le Courrier de l’Ouest”, “l’Alsace”, “Nice Matin”, “Le Provençal”: qu’il y ait eu une enquête de gendarmerie, et les traces de radioactivité, avaient permis aux journalistes de penser que l’événement était digne d’être rapporté. Sur le lieu même de l’observation se trouve maintenant l’une des plus célèbres boîtes de nuit de la Réunion, “La Soucoupe Volante”, et l’affaire est devenue autant le sujet des quolibets de l’île qu’un classique mineur de la littérature ufologique: Plusieurs fois, et notamment quelques années plus tard, en 1975, les bibendums Michelin reviendront visiter la Réunion. REFERENCES:
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